Se moquer de tout, de la maladie comme de la mort, de la vie, de sa fragilité et de ses limites.
Parler étroitesse d’esprit, racisme et désespérance.
Laisser l’humain et ses faiblesses, la tendresse transparaître comme autant de fêlures pour mieux émouvoir et faire rire… intelligemment.
Voilà décrit en quelques mots bien réducteurs Vivons heureux en attendant la mort.
Un travail d’orfèvre, un rendez-vous gourmand, sorte de retrouvailles ou découverte, avec un humour corrosif, pénétrant et pudique.
Spectacle vu le 03-12-2012
Lieu :
Centre Culturel des Riches-Claires
Une critique signée
Muriel Hublet
Imprimer cette page
Enregistrer cette page sous format PDF