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1815, La dernière bataille
1815, La dernière bataille Il était une fois…
Tous les récits de notre enfance débutaient par cette phrase.
Quand le conteur s’appelle Patrick Chaboud, tout commence par un gigantesque Et si…

Et si Napoléon avait réussi à s’échapper au soir de la Bataille de Waterloo ?
Et si Joséphine de Beauharnais y était morte d’une confusion entre gauche et droite ?
Et si Abba était venu égayer les grognards par une reprise de leur titre mémorable ?
Et si…
La liste est longue, très longue des inventions et autres détournements que ce diable d’homme et toute sa troupe font subir à l’Histoire pour nous concocter un spectacle totalement déjanté (comme à leur habitude).

Comme à chaque fois, les jeux de mots, les calembours et autres contrepèteries sont foisons et gageons que comme moi, vous n’en saisirez pas la totalité tant il y en a.
Musiques et chansons, fumées et coups de canon, charges héroïques et retraites stratégiques, femmes fatales et amoureux transis, sont aussi au rendez-vous d’un joyeux moment théâtral mené tambours battants et sabres au clair.

1815, La dernière bataille Si 1815, La dernière bataille est également disponible en version livre, son contenu varie un peu par rapport au spectacle.
Toute création au Magic Land est un travail d’équipe et évolue en fonction des apports de chacun des comédiens.
Au final, un fameux délire bourré de gags, trouvailles et cocasseries dont la liste est tellement longue que je n’en citerai que quelques-uns comme le caleçon de Napoléon, le reportage sur la bataille ou encore la lettre à Blücher.
À déguster sans modération en attendant la reconstitution historique monumentale pour le Bicentenaire de la Bataille de Waterloo les 17, 18, 19, 20 et 21 juin 2015.

Spectacle vu le 20-02-2015
Lieu : Magic Land Théâtre

Une critique signée Muriel Hublet

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